Les starters ont la parole
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Les starters ont la parole

Catégorie: Starters

Pieter: d'un diplôme de biologie à son propre commerce dans l'industrie des tapis


En 2009, Pieter Dewinter (28 ans) a franchi le pas et a lancé son propre commerce dans l'industrie des tapis. Même si cette année fut une année dramatique dans ce secteur, il n'a pas abdiqué et a continué à croire en son produit: des tapis pouvant accueillir des messages, des dessins ou des photos. Il n'a pas connu de problème de financement, mais il a quand même collaboré avec un comptable afin d'établir un business plan réaliste. Maintenant qu'il est en pleine pratique de l'entrepreneuriat, il semble rencontrer des difficultés à suivre ce plan. «Au début, tu rencontres plus de déceptions que de succès. Des clients au préalable enthousiastes se désistent pour l'une ou l'autre raison. Il est important de ne pas perdre de vue l'idée que l'on se fait au départ de son entreprise.» La réalité financière d'un indépendant semble aussi différente de celle d'un employé: «J'ai toujours possédé une voiture d'entreprise, avec une carte d'essence. Une fois indépendant, on se rend compte du prix de l'essence!» (rires)

 
 
Christophe est kinésithérapeute
 
Christophe D’Hooghe a choisi d'exercer le métier de kinésithérapeute et de collaborer avec un confrère. Pour le moment, ils ne sont pas encore associés, ce qui pourrait être le cas à l'avenir. Il a eu de la chance, au terme de ses études, de connaître des collègues-kinésithérapeutes et de les remplacer assez souvent. De cette façon, il a pu acquérir de l'expérience. Après sept ans, il collabore toujours avec un collègue d'alors. La comptabilité et l'administratif ne sont pas son truc, pourtant il garde des plages libres chaque semaine pour s'acquitter de cette tâche. Quel conseil peut-il donner aux young starters? «Continuez de croire en vous-même et si vous avez la chance de travailler en tant qu'indépendant, c'est une belle façon de se développer personnellement
 
Frederick a une expérience d'avocat dans son entreprise personnelle
 
Frederick Bruloot est indépendant depuis 2005, mais pour des raisons fiscales et de responsabilité civile, a décidé de passer à une ASBL en octobre 2008. Il a été inspiré par son père qui était huissier de justice. Quand on lui demande si ce qui lui a manqué lors de sa recherche d'infos pour starters, il répond immédiatement: «Sélectionner ce qui est intéressant ou non. Quand on ne sait pas ce qu'il faut tenir à l'œil, on ne sait pas non plus vers quel axe orienter sa recherche.» A quoi ne s'attendait-il pas lorsqu'il s'est lancé dans l'aventure? Du travail administratif qui accompagne le lancement d'une entreprise et de la comptabilité qui n'est pas la tâche du seul comptable, car celui-ci doit travailler grâce à ton aide. En effet, celui qui tient à jour l'administratif peut éviter une perte de temps considérable à la fin de l'année. En plus, il a également appris qu'un indépendant avait tout intérêt à rapidement investir dans du personnel et à collaborer avec d'autres indépendants débutants pour maintenir son activité à flot. Enfin, il a été aussi décontenancé de ne trouver nulle part des avis concrets sur l'aspect financier d'une nouvelle activité.

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